Mardi Art du 1er octobre 2013

NKULULEKO, de la compagnie VIA KATLEHONG DANCE

Via Katlehong rehearse at the Katlehong Arts Centre prior to their departure to France where they will participate at various arts and dance festivals.  Photograph  :  John Hogg.

Via Katlehong rehearse at the Katlehong Arts Centre prior to their departure to France where they will participate at various arts and dance festivals.
Photograph : John Hogg.

La compagnie : VIA KATLEHONG DANCE Créée en 1992, la compagnie menée par Buru Mohlabane, Vusi Mdoyi et Steven Faleni, tire son nom du township de Katlehong dans l’East Rand, un quartier déshérité où est née la culture contestataire pantsula. Nourrie d’une forte identité communautaire, Via Katlehong Dance poursuit une mission éducative, culturelle et sociale à l’attention des jeunes d’Afrique du Sud pour qui la danse représente une alternative à la criminalité. La compagnie fait aujourd’hui partie du paysage chorégraphique international, multipliant tournées et succès.

Le spectacle : NKULULEKO Savant mélange de pantsula, steps et gumboots, le spectacle fait feu de toute la danse néo-traditionnelle de leur état sans verser une seule seconde dans la présentation ethnologique plombante. Très physique, ludique, métissée, la danse de Via Khatlehong est une leçon de rythmicité et de technicité qui emporte tout sur son passage. Mais d’où peut bien venir cette incroyable énergie qui s’empare des corps de ces danseurs accomplis ? Les danses qu’ils nous proposent ici sont leur réponse à ces années d’ostracisme dont ils ont été si longtemps victimes, et pourtant pas un soupçon de haine, d’aigreur, de noirceur qui ne transpire ici. Juste le plaisir sain de danser jusqu’à la transe pour exister pleinement.

A 14h15 au gymnase du lycée pour toutes les classes de 2nde.

Calendrier des « Mardis Art »

Rz_4Un fois par mois un artiste, grâce à nos partenaires la ferme du Buisson, le festival des rencontres chorégraphiques et la région Ile-de-France, vient présenter son travail au lycée. Cet événement permet aux élèves de découvrir diverses formes d’arts, de s’ouvrir sur le monde contemporain et de développer le regard du spectateur. La programmation en pièce jointe

Mardi Art du 21 mai 2013

« Sur un air deux… » est une chorégraphie en trois étapes, trois albums correspondant à trois périodes de l’histoire récente de la chanson française. Chaque album a une thématique et un parti pris esthétique et chorégraphique en relation avec l’époque de référence.

« Sur un air deux… », 3ème album, aborde la relation à deux en lien avec un univers musical et un texte préexistant. Le sens des mots, la musicalité de la chanson, son rythme et sa couleur, se frottent avec le sens et la musicalité de la danse. Chanson et danse se rencontrent, à l’unisson, en résonance ou en contrepoint, le traitement chorégraphique de la chanson en souligne un aspect particulier, parfois drôle ou décalé mais toujours dans le respect du texte original. Le choix de la chanson de variété française est une façon d’inviter plus spontanément le public vers le lieu de la danse. Il s’agit également de faire découvrir ou redécouvrir un répertoire de chansons.

Chaque album est une pièce courte indépendante d’une vingtaine de minutes qui peut-être jouée plusieurs fois par jour, sur un même lieu ou en itinérance. En effet, ces duos ont la particularité d’être adaptables à différents contextes d’espaces de jeu (rue, place, jardin privé, parc public, cour d’immeuble…). La légèreté technique participe de cette mobilité.

Chorégraphie : Christian Bourigault Interprétation et écriture du mouvement : Nicolas Diguet et Pauline Tremblay Durée 20’


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Mardi Art du 23 avril 2013

F. ET STEIN, Réinterprétation de Christian Bourigault, 2000

Solo/Duo pour un danseur et un guitariste

f-et_stein_2_« Loin du groupe, loin de la troupe : être seul, être double. Etre deux : Frank et Stein. Frankenstein est un monstre de cinéma qui se donne à voir, à la fois effrayant et émouvant. Comme Elephant Man, c’est un être humain vulnérable à mi-chemin entre la mort, l’horreur et la vie, l’amour… f. et stein serait dans un décor de plastique et de vieux plâtres le spectacle de la résurrection monstrueuse. Dans cette rencontre d’un musicien de rock et d’un danseur chorégraphe contemporain naît une complicité nécessaire : devenir autre pour vivre. Pour le musicien, faire que sa musique mute en danse, la travailler encore et encore à la rendre si fine et si sauvage qu’elle devienne l’espace de la chorégraphie. Pour le danseur, se donner pour épreuve de danser sans chorégraphie : danser ses nerfs, danser sa peur, aux confins des limites. Bagouet alors, revient à ses personnages : la mort, la folie, la lumière. Et, en une alchimie mystérieuse, sous les coups de la musique, Bagouet les fait muter l’un et l’autre, avec une danse fragile mais élastique, désespérée mais vivante. Ce solo à deux se donne en spectacle à la fois comme un terrible appel au secours et une séduisante provocation à vivre. Il offre, comme la vie, son dérisoire et son espoir, et comme la mort, sa séduction et sa révolte. »

Jean-paul Montanari, programme de la compagnie Bagouet, 1983.

« Réinterpréter F. et Stein, créé en 1983 par Dominique Bagouet, c’est montrer une autre face de son oeuvre : celle de la faille, de la déchirure, de la démesure, de l’extravagance, de la dislocation, de la maladresse, de l’humour. Réinterpréter F. et Stein, c’est montrer « l’homme qui danse » pour reprendre une des expressions favorites de Dominique, avec qui j’ai partagé un bout de chemin et que j’avais envie de retrouver « le temps d’une petite danse » ». C. Bourigault

« La nuit d’un mort bien vivant […] Doté d’un sens inné de la théâtralité, il habite pleinement cet autoportrait où Bagouet convoquait ses fantômes intérieurs. Se dévoile alors la face cachée d’un danseur qui, entre exhibition, travestissement et dédoublement, cherchait son chemin dans une nuit où travaillaient l’angoisse et la mort. […] ». Extrait article de Laurence Perez, Zibeline, décembre 2007.

Chorégraphie Dominique Bagouet

Réinterprétation Christian Bourigault

Musique Sven Lava

Lumières Jacques Chatelet

Dispositif scénique Christine Le Moigne

Costumes Dominique Bagouet Réalisation Maritza gligo

Régie lumières Sylvie Debare

Maquillage Sylvie Chaintrier

Oeil et oreille complices Jean-Charles Di Zazzo

Catherine Legrand, Yan Raballand

Mémoire vidéo Charles Picq avec l’accord des Carnets Bagouet


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Mardi Art du 9 avril 2013

« What you want ? » de Thomas Le Brun

Ceci n’est pas un spectacle chorégraphié, mais improvisé…

Il s’agit cependant et tout de même d’un spectacle chorégraphique ! C’est-à-dire qu’il s’agit d’un spectacle chorégraphique qui n’est pas chorégraphié, mais improvisé… Donc d’un spectacle chorégraphique improvisé… Et c’est un solo… ou plutôt, en solo… On peut donc dire qu’il s’agit d’un solo chorégraphique improvisé… Voilà !…

Solo_What_you_want

Working-girl ou star de la chanson… Meneuse de revue ou crooner des années 40 soudainement pris par la fièvre du mouvement intérieur incontrôlé… On ne sait pas qui entrera sur le plateau. Une chose est sûre, c’est qu’il (ou elle) a embarqué sa discothèque de vinyles avec lui (ou elle)… Pas tout non plus… Une partie de ses chansons préférées (ou pas ?).

En tous cas, cette créature compte sur vous pour l’amener hors de ses habitudes et pour être tout aussi surprise que vous, si ce n’est plus… C’est de la danse, c’est de l’impro, c’est du direct !

Avec Thomas Lebrun Lumières : Inconnues Musiques : à vous de choisir… Durée : En général, de 20 à 30 minutes

Production : Compagnie Illico

Mardi Art du 19 mars 2013

La famille Arties est un collectif de musiciens de niveau international réunis autour d’une passion commune pour la musique de chambre.

famille_arties_logo_siteArtistes confirmés et à la renommée déjà acquise, ou jeunes talents en devenir, la famille Arties s’appuie sur l’envie de ses artistes de traverser et de s’approprier les plus belles pages de la musique de chambre en les proposant au public de manière accessible. La famille Arties souhaite au cours de ses programmations sortir du réseau traditionnel et parfois élitiste de la musique classique. Son ambition est d’aller à la rencontre des publics, de s’affranchir des codes et du protocole des concerts classiques, d’offrir l’excellence musicale dans un esprit convivial, généreux et spontané.


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Mardi Art du 29 janvier 2013

P1040591 L’étranger au paradis est un objet unique en son genre, qui invite 12 danseurs différents à chaque représentation à interpréter une chorégraphie réglée au millimètre après seulement quelques heures de répétition.

Les interprètes envahissent d’impressionnantes toiles colorées aux dessins géométriques enchevêtrés et composent un kaléidoscope en mouvement perpétuel, fait de rouages imbriqués ou de mécanismes d’horlogerie.

Les mouvements inattendus du groupe réveillent des sensations liées aux plaisirs des jeux de construction ou encore aux délices des logiques labyrinthiques. Un Tétris chorégraphique ? Une danse hypnotique ?

Pour ce spectacle, David Rolland invite la chorégraphe Béatrice Massin, spécialiste de la danse baroque, et la plasticienne et poète sonore Anne de Sterk à créer chacune une séquence et faire ainsi dialoguer leurs écritures.

Chorégraphie : David Rolland

Interprètes : Enseignement série littéraire spécialité danse : ABOLO MBITA Delphine , DEMBELE Awa, DORMIO Justine, DROUILLARD Laura, GUILLAUME Mathilde, MALROUX Alexandra, SEINCE Coralie et ZIELINSKA Paulina. Enseignement option faP1040598cultative EPS danse : Leloué Maëva et Toureille Lisa

Assistantes du chorégraphe : Valéria Giuga et Fani Sarantari

Partenaire : Scène Nationale de Marne-la-Vallée – La Ferme du Buisson

Présentation réalisée dans le cadre du « Mardi Art » du 29 janvier 2013, dispositif soutenu par la Région Ile-de-France et de la Délégation Académique à l’éducation Artistique et Culturelle de l’Académie de Créteil.

Mardi Art du 26 février 2013

« Daniel lafillequidanse_3-Laurent-PhilippeDobbels, chorégraphe en résidence au Forum, scène conventionnée de Blanc-Mesnil vous invite à cotoyer le mystère du geste rare… »

La compagnie De l’Entre-Deux est en résidence au Forum/scène conventionnée de Blanc-Mesnil avec le soutien du Département de la Seine-Saint-Denis.


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Mardi Art du 5 février 2013

Le_ballon_noir_Les terrains les paratonnerres la banquise le doute et la tenue la parole les tigres l’investissement dans le bien faire le ciel qui devient vert la solitude des bois un corbeau rouge le rien la boue qui boue l’amusement et le sérieux la mort la mer l’aplomb la mousse de bitume les papillons la rue un cheval dans les toilettes un tunnel un attrape chien la cuillère d’amertume les pas de cotés les appelles le glissement l’armoire fermée le chêne liège le collant les mélodies solitaires

Une esquisse improvisée sur l’enfant. Ce qui fait une partit de l’enfance. Il reste toujours des traces si prenantes, agréables et désagréables. Toujours l’origine.

Chorégraphie : Lucas Manganelli


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Mardi Art du 29 janvier 2013

« L’étranger au paradis » Spectacle audioguidé en 6 actes

Conception : David Rolland 2 auteures invitées : Béatrice Massin et Anne de Sterk

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L’étranger au paradis est un objet unique en son genre : à chaque représentation, 11 nouveaux danseurs interprètent une chorégraphie réglée au millimètre après seulement quelques heures de répétition. Ils envahissent d’imposantes toiles imprimées de dessins géométriques enchevêtrés et composent un kaléidoscope, fait de rouages imbriqués ou de mécanismes d’horlogerie. Les mouvements inattendus du groupe réveillent des sensations liées aux plaisirs des jeux de construction ou encore aux délices des logiques labyrinthiques. Pour ce spectacle, David Rolland invite la chorégraphe Béatrice Massin, spécialiste de la danse baroque, et la plasticienne et poète sonore Anne de Sterk.

Conception du projet : David Rolland Auteures invitées : Béatrice Massin, chorégraphe et Anne de Sterk, plasticienne et poète sonore Assistante à la chorégraphie et interprétation : Valeria Giuga

Interprétation : les élèves de 1L et TL spécialité Art Danse : DORMIO Justine, SEINCE Coralie, VELLAYEN Ange-Line, ABOLO MBITA Delphine, ANGI Mergul, DEMBELE Awa, DROUILLARD Laura, GUILLAUME Mathilde, MALROUX Alexandra et ZIELINSKA Paulina.

Plasticien (sur tapis Square et Rencontre du 3e type) : Jean-François Courtilat

Création musicale et régie son : Roland Ravard

Musiques additionnelles : Magnificat à 3 voix H.73 de Charpentier

L’étranger au paradis interprété par Gloria Lasso

Création et régie lumières : Sylvie Debare

Régie de plateau : Pierre Peronnet

Système HF : Laurent Pinet

Assistants construction des décors : Hugo Bossaert ; Anne Reymann ; Norman Barreau-Gély

Assistant graphisme tapis : Éric Garnier

Stagiaires : Laure Peyramayou et Nathan Sobreira

Partenaires : Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC des Pays de la Loire (aide à la compagnie chorégraphique), le Conseil Régional des Pays de la Loire, le Conseil Général de Loire-Atlantique, la Ville de Nantes, la Ville de Bagnolet et le Conseil Général de Seine-Saint-Denis. Production : association ipso facto danse Coproduction : Centre chorégraphique national de Nantes Claude Brumachon – Benjamin Lamarche (accueil-studio), L’Intervalle – Noyal sur Vilaine, Musique et Danse en Loire-Atlantique. Avec le soutien de : Le Grand R, scène nationale de La Roche sur Yon, TU – Nantes, le Centquatre – Paris, L’Echangeur – Cie Public Chéri.


Fichier PDF – Affiche Mardi Art