Mardi Art du 11 décembre 2012

« EMBRACE » de la Compagnie Affari Esteri

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embrace : enlacer, contenir, comprendre. embrace explore la relation sensible et variable de deux hommes en face à face, contraints et complices dans leur quête d’identification multiple. C’est dans le glissement des valeurs identitaires que des intentions poétiques se déploient : du récit amoureux au rapport gémellaire, du corps social au corps sensible… l’autre comme témoin et miroir, support et accompagnateur à la fois. Des renvois formels y font écho : l’unisson, la symétrie, la répétition… Voix et musique, syncopées, mesurées, palpitantes, répondent à l’endurance, à la fluctuation, aux élans des corps en mouvement. La musique crée rupture et intermède, la voix suggère, envahie, exprime, scande, raconte… Ensemble, ils développent une partition fragmentée dans une tension teintée d’émotions, pulsations, cadences et respirations. Les correspondances, entre les différentes lignes créatrices, tendent à croiser les lectures d’une partition à plusieurs voix, à interroger les sens, le sens. embrace accueille comme un réceptacle symbolique, les substances que transporte ce voyage chorégraphique dans une continuelle projection de créer relation. Une réflexion sur l’existence de soi à travers l’autre.


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Mardi Art du 11 décembre 2012

embrace : enlacer, contenir, comprendre. embrace explore la relation sensible et variable de deux hommes en face à face, contraints et complices dans leur quête d’identification multiple…Embrace_-_Cie_Affari_Esteri_2_

Mardi Art du 18 septembre 2012

Toujours à la recherche de nouvelles interactions entre une proposition artistique, l’espace où elle se situe et ceux à qui elle est destinée, le Collectif AOC met en place des interventions circassiennes modulables regroupées sous le nom de « vadrouilles »

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Basées sur la notion d’intégration à un lieu donné (intérieur ou extérieur) elles ont vocation à s’installer tout aussi bien dans l’espace public, dans des lieux de patrimoine que dans des manifestations singulières. Par ces petites intrusions, nous voulons aller à la rencontre du public, le retrouver chez lui dans son espace familier et « perturber positivement » son environnement en y implantant des agrès de cirque. C’est aussi l’occasion de faire découvrir, en dehors de nos spectacles sous chapiteau, un réel savoir faire circassien où le geste hautement technique transformé par l’approche chorégraphique est devenu la véritable marque de fabrique de la compagnie. En nous laissant la possibilité de construire et déconstruire son schéma selon le contexte, nous espérons permettre une plus grande accessibilité de notre univers créatif et surtout offrir à un large public, des propositions empreintes de proximité.

Agrès : trampoline

Horaire : 11h20

Durée : 25 min

Pour toutes les classes.

Mardi Art du 27 mars 2012

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Clara Clara contient 15 corps et 30 kilos de terre, on y fend, tord, courbe, suspend et étale la matière. L’action s’appuie sur une œuvre de Richard Serra qui en 1967 établit, à la manière d’un poème , une liste de verbes transitifs comme moyen de mettre en mouvement la matière quelle qu’elle soit. Avec Clara Clara tout est matière, tout est mouvement.

Chorégraphie : Delphine Lorenzo

Présentation à 15h15 au gymnase du lycée avec la participation des élèves de 2nde enseignement d’exploration danse.


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Mardi art du 13 mars 2012

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Théâtre / Collectif DRAO, Shut your mouth

Création d’une durée de 30 à 40 minutes.

Ce spectacle repose sur des extraits de textes de Jon Fosse, Ingmar Bergman, auxquels s’ajouteront des textes de Lars Norén et de Maurice Pialat, qui mettent en scène des variations sur les relations homme/femme, associés à jamais dans l’étroite frontière de la haine et de l’amour.

Cette frontière, c’est le terrain de jeu du diable. Tel était l’enjeu pour le collectif DRAO : écrire un spectacle en considérant l’espace scénique comme le terrain de jeu du diable, sur lequel deux femmes et deux hommes se heurtent, se narguent, pleurent et vocifèrent, en engageant le corps comme une étreinte et une lutte. Nous retrouvons les grandes figures de Scènes de la vie conjugale et de Qui a peur de Virginia Woolf ?


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Mardi Art du 14 février 2012

« Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt »

_MG_6376 Conception et chorégraphie : Perrine Valli

Interprétation : Inari Salmivaara, Alexandre Da Silva, Perrine Valli

Création sonore : Eric LinderIMG_7706

Extrait présenté : Dans ce travail chorégraphique, il s’agit développer un lien entre narration et abstraction. Comment le narratif peut-il s’articuler avec l’abstrait sans pour autant tomber dans les pièges spécifiques à chacun de ces registres ? Le travail étant de représenter sur scène des images mentales.

Le titre « Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt » est tiré d’un tableau de Magritte dont l’univers pictural a servi de source d’inspiration. « Je veille, dans la mesure du possible, à ne faire que des peintures qui suscitent le mystère avec la précision et l’enchantement nécessaire à la vie des idées » déclara-t-il. Au niveau dramaturgique, la pièce s’articule autour du mythe d’Adam, Eve et Lilith car l’aspect métaphorique et politique de ces mythes permet de proposer au spectateur une réflexion sur les rôles identitaires.

Crédit photo : Nicolas Lelièvre et Dorothée Thébert

Classes concernées : 1L/ 1S2 / 1S3 / 1STG C

14h15 au gymnase du lycée

Mardi Art du 14 février 2012

_MG_6376« Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt »

Conception et chorégraphie : Perrine Valli

Interprétation : Inari Salmivaara, Alexandre Da Silva, Perrine Valli

Création sonore : Eric Linder

Extrait présenté : Dans ce travail chorégraphique, il s’agit développer un lien entre narration et abstraction. Comment le narratif peut-il s’articuler avec l’abstrait sans pour autant tomber dans les pièges spécifiques à chacun de ces registres ? Le travail étant de représenter sur scène des images mentales.

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Le titre « Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt » est tiré d’un tableau de Magritte dont l’univers pictural a servi de source d’inspiration. « Je veille, dans la mesure du possible, à ne faire que des peintures qui suscitent le mystère avec la précision et l’enchantement nécessaire à la vie des idées » déclara-t-il. Au niveau dramaturgique, la pièce s’articule autour du mythe d’Adam, Eve et Lilith car l’aspect métaphorique et politique de ces mythes permet de proposer au spectateur une réflexion sur les rôles identitaires.

Crédit photo : Nicolas Lelièvre et Dorothée Thébert

Classes concernées : 1L/ 1S2 / 1S3 / 1STG C

14h15 au gymnase du lycée

Mardi Art du 10 janvier 2012

Chorégraphie David Rolland.

Le principe de cette performance est simple.

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Tous les élèves sont munies pour chacun d’un MP3. Une bande son défile avec des consignes parfois communes parfois différentes. Cela repose sur des règles à suivre qui amènent au mouvement et au déplacement dans l’espace. C’est ludique et poétique . L’artiste propose de réaliser une séance pour chaque classe dans le gymnase.

Une fois le top départ annoncé, ils deviennent instantanément acteurs d’une manifestation joyeuse à travers une déambulation chorégraphique et décalée.

Nous avons prévu une rotation qui permette d’accueillir les élèves en classe entière au gymnase :

TES1 : 10h25 11h20 avec Mme Gandon

TSTGm : 12h20 13h15 avec Mme Marzouki

TL Art : 13h15 14h10 avec M Barreiros

TSTGf + 2A2B explo danse : 14h10 15h05 avec M Abouanas et Mme Gea

Mardi arts du 6 décembre 2011

À la recherche des canards de la NASA

En septembre 2008, la Nasa lâche 90 canards jaunes en plastique dans un glacier du Groenland pour mesurer la vitesse du réchauffement climatique. Attendus quelques semaines plus tard dans la baie de Disco, les canards ne réapparaissent jamais. Où sont passés les canards ? Sont-ils encore prisonniers du glacier ? Sont-ils déjà sortis ? Et si on retrouvait un canard à des milliers de kilomètres plus au sud ? Au large de Terre-Neuve ? Le long des côtes québécoises ? Devant la statue de la liberté ? Dans le golfe du Mexique ? Ou plus au nord ? Prisonniers de la banquise ? Au large de Thulé ? Sur les côtes russes de l’océan glacial arctique ? Les canards ne détiennent-ils pas la clé des bouleversements du monde ?

Cie Vertical Détour – Ecriture et conception : Frédéric Ferrer

Classes concernées : TS1 – TS2 – TES2 – TL art danse – 2A 2B enseignement exploration danse

Mardi 6 décembre à 14h10

Mardi art du 8 novembre

Escales_dansees« Concerto pour un corps et une guitare préparée en trois mouvements : 1. prélude bruitiste 2. suite tumultueuse 3. final chantonnant … Pas plus ni moins. » de Seb Martel et Anne Emmanuel Deroo

Classes concernées : 13h15 : 2G – 2H – 2D – 2C 14h10 : 2A – 2B – 2E – 2F

Lieu : gymnase