embrace : enlacer, contenir, comprendre. embrace explore la relation sensible et variable de deux hommes en face à face, contraints et complices dans leur quête d’identification multiple…
Mardi Art du 18 septembre 2012
Toujours à la recherche de nouvelles interactions entre une proposition artistique, l’espace où elle se situe et ceux à qui elle est destinée, le Collectif AOC met en place des interventions circassiennes modulables regroupées sous le nom de « vadrouilles »
Basées sur la notion d’intégration à un lieu donné (intérieur ou extérieur) elles ont vocation à s’installer tout aussi bien dans l’espace public, dans des lieux de patrimoine que dans des manifestations singulières. Par ces petites intrusions, nous voulons aller à la rencontre du public, le retrouver chez lui dans son espace familier et « perturber positivement » son environnement en y implantant des agrès de cirque. C’est aussi l’occasion de faire découvrir, en dehors de nos spectacles sous chapiteau, un réel savoir faire circassien où le geste hautement technique transformé par l’approche chorégraphique est devenu la véritable marque de fabrique de la compagnie. En nous laissant la possibilité de construire et déconstruire son schéma selon le contexte, nous espérons permettre une plus grande accessibilité de notre univers créatif et surtout offrir à un large public, des propositions empreintes de proximité.
Agrès : trampoline
Horaire : 11h20
Durée : 25 min
Pour toutes les classes.
Charivari 2012 en images …
Présentation des travaux chorégraphiques de fin de formation des élèves de terminale série littéraire spécialité danse lors du festival Charivari à la Ferme du Buisson à Noisiel le 26 mai 2012.
Note d’intention : Il s’agit pour la plupart des travaux, notamment les duos, d’aborder la frontière qui sépare deux corps. Les corps sont fusionnels, pour en devenir parfois monstrueux, ils se figent, se confondent et se répondent, dans un jeu où sa propre identité est constamment questionner. Le trio aborde le rapport entre une chanson Française populaire des années 90 et le mouvement. Comment composer avec ces deux ?
Festival CHARIVARI
Les Rencontres lycéennes fêtent leur dixième édition ! Le temps d’une journée, écoliers, collégiens et lycéens investissent les scènes de la Ferme. Ce rendez-vous est l’occasion de dévoiler l’ensemble des ateliers artistiques menés durant l’année entre les élèves des établissements partenaires et les artistes complices de la Ferme du Buisson. Théâtre, danse, arts visuels et plastiques… découvrez les créations originales de ces artistes en herbe.
— structures participantes Lycée Émilie du Châtelet (Serris), Lycée Charles de Gaulle (Rosny-sous-Bois), Lycée Martin Luther King (Bussy-Saint-Georges), Lycée Jean Moulin (Torcy), Lycée Gérard de Nerval (Noisiel), Lycée Blaise Pascal (Brie-Comte-Robert), Campus Sainte Thérèse (Ozoir la Ferrière), Lycée Flora Tristan (Noisy le Grand), Mission Générale d’Insertion (Lognes), Conservatoire à Rayonnement Départemental du Val Maubuée (Noisiel)
_— artistes complices Laurent Bellambe, Julie Laufenbuchler, Lilou Robert et Shush Tenin (Collectif 18.3), Julien Chavrial (Collectif Les Possédés), Pascale Diez, David Dusa, Radhouane El Meddeb (Cie de soi), Mikaël Serre, Lisa Sans (Cie AsaNIsiMAsa), Benoît Serre, Gérald Weingand (Cie For Happy People and Co)
Les élèves de Terminalle L spécialité Art Danse participeront au festival CHARIVARI le samedi 26 mai 2012 à 14h30 (au studio) à la Ferme du Buisson. Ils présenteront leurs travaux de fin de cursus. Entrée Libre.
Mardi Art du 27 mars 2012
Clara Clara contient 15 corps et 30 kilos de terre, on y fend, tord, courbe, suspend et étale la matière. L’action s’appuie sur une œuvre de Richard Serra qui en 1967 établit, à la manière d’un poème , une liste de verbes transitifs comme moyen de mettre en mouvement la matière quelle qu’elle soit. Avec Clara Clara tout est matière, tout est mouvement.
Chorégraphie : Delphine Lorenzo
Présentation à 15h15 au gymnase du lycée avec la participation des élèves de 2nde enseignement d’exploration danse.
Mardi art du 13 mars 2012
Théâtre / Collectif DRAO, Shut your mouth
Création d’une durée de 30 à 40 minutes.
Ce spectacle repose sur des extraits de textes de Jon Fosse, Ingmar Bergman, auxquels s’ajouteront des textes de Lars Norén et de Maurice Pialat, qui mettent en scène des variations sur les relations homme/femme, associés à jamais dans l’étroite frontière de la haine et de l’amour.
Cette frontière, c’est le terrain de jeu du diable. Tel était l’enjeu pour le collectif DRAO : écrire un spectacle en considérant l’espace scénique comme le terrain de jeu du diable, sur lequel deux femmes et deux hommes se heurtent, se narguent, pleurent et vocifèrent, en engageant le corps comme une étreinte et une lutte. Nous retrouvons les grandes figures de Scènes de la vie conjugale et de Qui a peur de Virginia Woolf ?
Mardi Art du 14 février 2012
« Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt »
Conception et chorégraphie : Perrine Valli
Interprétation : Inari Salmivaara, Alexandre Da Silva, Perrine Valli
Extrait présenté : Dans ce travail chorégraphique, il s’agit développer un lien entre narration et abstraction. Comment le narratif peut-il s’articuler avec l’abstrait sans pour autant tomber dans les pièges spécifiques à chacun de ces registres ? Le travail étant de représenter sur scène des images mentales.
Le titre « Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt » est tiré d’un tableau de Magritte dont l’univers pictural a servi de source d’inspiration. « Je veille, dans la mesure du possible, à ne faire que des peintures qui suscitent le mystère avec la précision et l’enchantement nécessaire à la vie des idées » déclara-t-il. Au niveau dramaturgique, la pièce s’articule autour du mythe d’Adam, Eve et Lilith car l’aspect métaphorique et politique de ces mythes permet de proposer au spectateur une réflexion sur les rôles identitaires.
Crédit photo : Nicolas Lelièvre et Dorothée Thébert
Classes concernées : 1L/ 1S2 / 1S3 / 1STG C
14h15 au gymnase du lycée
Mardi Art du 14 février 2012
« Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt »
Conception et chorégraphie : Perrine Valli
Interprétation : Inari Salmivaara, Alexandre Da Silva, Perrine Valli
Création sonore : Eric Linder
Extrait présenté : Dans ce travail chorégraphique, il s’agit développer un lien entre narration et abstraction. Comment le narratif peut-il s’articuler avec l’abstrait sans pour autant tomber dans les pièges spécifiques à chacun de ces registres ? Le travail étant de représenter sur scène des images mentales.
Le titre « Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt » est tiré d’un tableau de Magritte dont l’univers pictural a servi de source d’inspiration. « Je veille, dans la mesure du possible, à ne faire que des peintures qui suscitent le mystère avec la précision et l’enchantement nécessaire à la vie des idées » déclara-t-il. Au niveau dramaturgique, la pièce s’articule autour du mythe d’Adam, Eve et Lilith car l’aspect métaphorique et politique de ces mythes permet de proposer au spectateur une réflexion sur les rôles identitaires.
Crédit photo : Nicolas Lelièvre et Dorothée Thébert
Classes concernées : 1L/ 1S2 / 1S3 / 1STG C
14h15 au gymnase du lycée
Mardi Art du 10 janvier 2012
Chorégraphie David Rolland.
Le principe de cette performance est simple.
Tous les élèves sont munies pour chacun d’un MP3. Une bande son défile avec des consignes parfois communes parfois différentes. Cela repose sur des règles à suivre qui amènent au mouvement et au déplacement dans l’espace. C’est ludique et poétique . L’artiste propose de réaliser une séance pour chaque classe dans le gymnase.
Une fois le top départ annoncé, ils deviennent instantanément acteurs d’une manifestation joyeuse à travers une déambulation chorégraphique et décalée.
Nous avons prévu une rotation qui permette d’accueillir les élèves en classe entière au gymnase :
TES1 : 10h25 11h20 avec Mme Gandon
TSTGm : 12h20 13h15 avec Mme Marzouki
TL Art : 13h15 14h10 avec M Barreiros
TSTGf + 2A2B explo danse : 14h10 15h05 avec M Abouanas et Mme Gea
Mardi arts du 6 décembre 2011
À la recherche des canards de la NASA
En septembre 2008, la Nasa lâche 90 canards jaunes en plastique dans un glacier du Groenland pour mesurer la vitesse du réchauffement climatique. Attendus quelques semaines plus tard dans la baie de Disco, les canards ne réapparaissent jamais. Où sont passés les canards ? Sont-ils encore prisonniers du glacier ? Sont-ils déjà sortis ? Et si on retrouvait un canard à des milliers de kilomètres plus au sud ? Au large de Terre-Neuve ? Le long des côtes québécoises ? Devant la statue de la liberté ? Dans le golfe du Mexique ? Ou plus au nord ? Prisonniers de la banquise ? Au large de Thulé ? Sur les côtes russes de l’océan glacial arctique ? Les canards ne détiennent-ils pas la clé des bouleversements du monde ?
Cie Vertical Détour – Ecriture et conception : Frédéric Ferrer
Classes concernées : TS1 – TS2 – TES2 – TL art danse – 2A 2B enseignement exploration danse
Mardi 6 décembre à 14h10