Mardi Art du 29 janvier 2013

« L’étranger au paradis » Spectacle audioguidé en 6 actes

Conception : David Rolland 2 auteures invitées : Béatrice Massin et Anne de Sterk

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L’étranger au paradis est un objet unique en son genre : à chaque représentation, 11 nouveaux danseurs interprètent une chorégraphie réglée au millimètre après seulement quelques heures de répétition. Ils envahissent d’imposantes toiles imprimées de dessins géométriques enchevêtrés et composent un kaléidoscope, fait de rouages imbriqués ou de mécanismes d’horlogerie. Les mouvements inattendus du groupe réveillent des sensations liées aux plaisirs des jeux de construction ou encore aux délices des logiques labyrinthiques. Pour ce spectacle, David Rolland invite la chorégraphe Béatrice Massin, spécialiste de la danse baroque, et la plasticienne et poète sonore Anne de Sterk.

Conception du projet : David Rolland Auteures invitées : Béatrice Massin, chorégraphe et Anne de Sterk, plasticienne et poète sonore Assistante à la chorégraphie et interprétation : Valeria Giuga

Interprétation : les élèves de 1L et TL spécialité Art Danse : DORMIO Justine, SEINCE Coralie, VELLAYEN Ange-Line, ABOLO MBITA Delphine, ANGI Mergul, DEMBELE Awa, DROUILLARD Laura, GUILLAUME Mathilde, MALROUX Alexandra et ZIELINSKA Paulina.

Plasticien (sur tapis Square et Rencontre du 3e type) : Jean-François Courtilat

Création musicale et régie son : Roland Ravard

Musiques additionnelles : Magnificat à 3 voix H.73 de Charpentier

L’étranger au paradis interprété par Gloria Lasso

Création et régie lumières : Sylvie Debare

Régie de plateau : Pierre Peronnet

Système HF : Laurent Pinet

Assistants construction des décors : Hugo Bossaert ; Anne Reymann ; Norman Barreau-Gély

Assistant graphisme tapis : Éric Garnier

Stagiaires : Laure Peyramayou et Nathan Sobreira

Partenaires : Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC des Pays de la Loire (aide à la compagnie chorégraphique), le Conseil Régional des Pays de la Loire, le Conseil Général de Loire-Atlantique, la Ville de Nantes, la Ville de Bagnolet et le Conseil Général de Seine-Saint-Denis. Production : association ipso facto danse Coproduction : Centre chorégraphique national de Nantes Claude Brumachon – Benjamin Lamarche (accueil-studio), L’Intervalle – Noyal sur Vilaine, Musique et Danse en Loire-Atlantique. Avec le soutien de : Le Grand R, scène nationale de La Roche sur Yon, TU – Nantes, le Centquatre – Paris, L’Echangeur – Cie Public Chéri.


Fichier PDF – Affiche Mardi Art

Mardi Art du 11 décembre 2012

« EMBRACE » de la Compagnie Affari Esteri

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embrace : enlacer, contenir, comprendre. embrace explore la relation sensible et variable de deux hommes en face à face, contraints et complices dans leur quête d’identification multiple. C’est dans le glissement des valeurs identitaires que des intentions poétiques se déploient : du récit amoureux au rapport gémellaire, du corps social au corps sensible… l’autre comme témoin et miroir, support et accompagnateur à la fois. Des renvois formels y font écho : l’unisson, la symétrie, la répétition… Voix et musique, syncopées, mesurées, palpitantes, répondent à l’endurance, à la fluctuation, aux élans des corps en mouvement. La musique crée rupture et intermède, la voix suggère, envahie, exprime, scande, raconte… Ensemble, ils développent une partition fragmentée dans une tension teintée d’émotions, pulsations, cadences et respirations. Les correspondances, entre les différentes lignes créatrices, tendent à croiser les lectures d’une partition à plusieurs voix, à interroger les sens, le sens. embrace accueille comme un réceptacle symbolique, les substances que transporte ce voyage chorégraphique dans une continuelle projection de créer relation. Une réflexion sur l’existence de soi à travers l’autre.


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Mardi Art du 11 décembre 2012

embrace : enlacer, contenir, comprendre. embrace explore la relation sensible et variable de deux hommes en face à face, contraints et complices dans leur quête d’identification multiple…Embrace_-_Cie_Affari_Esteri_2_

Mardi Art du 18 septembre 2012

Toujours à la recherche de nouvelles interactions entre une proposition artistique, l’espace où elle se situe et ceux à qui elle est destinée, le Collectif AOC met en place des interventions circassiennes modulables regroupées sous le nom de « vadrouilles »

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Basées sur la notion d’intégration à un lieu donné (intérieur ou extérieur) elles ont vocation à s’installer tout aussi bien dans l’espace public, dans des lieux de patrimoine que dans des manifestations singulières. Par ces petites intrusions, nous voulons aller à la rencontre du public, le retrouver chez lui dans son espace familier et « perturber positivement » son environnement en y implantant des agrès de cirque. C’est aussi l’occasion de faire découvrir, en dehors de nos spectacles sous chapiteau, un réel savoir faire circassien où le geste hautement technique transformé par l’approche chorégraphique est devenu la véritable marque de fabrique de la compagnie. En nous laissant la possibilité de construire et déconstruire son schéma selon le contexte, nous espérons permettre une plus grande accessibilité de notre univers créatif et surtout offrir à un large public, des propositions empreintes de proximité.

Agrès : trampoline

Horaire : 11h20

Durée : 25 min

Pour toutes les classes.

Charivari 2012 en images …

Présentation des travaux chorégraphiques de fin de formation des élèves de terminale série littéraire spécialité danse lors du festival Charivari à la Ferme du Buisson à Noisiel le 26 mai 2012.

Note d’intention : Il s’agit pour la plupart des travaux, notamment les duos, d’aborder la frontière qui sépare deux corps. Les corps sont fusionnels, pour en devenir parfois monstrueux, ils se figent, se confondent et se répondent, dans un jeu où sa propre identité est constamment questionner. Le trio aborde le rapport entre une chanson Française populaire des années 90 et le mouvement. Comment composer avec ces deux ?

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Festival CHARIVARI

2010_Charivari_05-22_140-dfdd4Les Rencontres lycéennes fêtent leur dixième édition ! Le temps d’une journée, écoliers, collégiens et lycéens investissent les scènes de la Ferme. Ce rendez-vous est l’occasion de dévoiler l’ensemble des ateliers artistiques menés durant l’année entre les élèves des établissements partenaires et les artistes complices de la Ferme du Buisson. Théâtre, danse, arts visuels et plastiques… découvrez les créations originales de ces artistes en herbe.

— structures participantes Lycée Émilie du Châtelet (Serris), Lycée Charles de Gaulle (Rosny-sous-Bois), Lycée Martin Luther King (Bussy-Saint-Georges), Lycée Jean Moulin (Torcy), Lycée Gérard de Nerval (Noisiel), Lycée Blaise Pascal (Brie-Comte-Robert), Campus Sainte Thérèse (Ozoir la Ferrière), Lycée Flora Tristan (Noisy le Grand), Mission Générale d’Insertion (Lognes), Conservatoire à Rayonnement Départemental du Val Maubuée (Noisiel)

_— artistes complices Laurent Bellambe, Julie Laufenbuchler, Lilou Robert et Shush Tenin (Collectif 18.3), Julien Chavrial (Collectif Les Possédés), Pascale Diez, David Dusa, Radhouane El Meddeb (Cie de soi), Mikaël Serre, Lisa Sans (Cie AsaNIsiMAsa), Benoît Serre, Gérald Weingand (Cie For Happy People and Co)

Les élèves de Terminalle L spécialité Art Danse participeront au festival CHARIVARI le samedi 26 mai 2012 à 14h30 (au studio) à la Ferme du Buisson. Ils présenteront leurs travaux de fin de cursus. Entrée Libre.


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Mardi Art du 27 mars 2012

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Clara Clara contient 15 corps et 30 kilos de terre, on y fend, tord, courbe, suspend et étale la matière. L’action s’appuie sur une œuvre de Richard Serra qui en 1967 établit, à la manière d’un poème , une liste de verbes transitifs comme moyen de mettre en mouvement la matière quelle qu’elle soit. Avec Clara Clara tout est matière, tout est mouvement.

Chorégraphie : Delphine Lorenzo

Présentation à 15h15 au gymnase du lycée avec la participation des élèves de 2nde enseignement d’exploration danse.


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Mardi art du 13 mars 2012

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Théâtre / Collectif DRAO, Shut your mouth

Création d’une durée de 30 à 40 minutes.

Ce spectacle repose sur des extraits de textes de Jon Fosse, Ingmar Bergman, auxquels s’ajouteront des textes de Lars Norén et de Maurice Pialat, qui mettent en scène des variations sur les relations homme/femme, associés à jamais dans l’étroite frontière de la haine et de l’amour.

Cette frontière, c’est le terrain de jeu du diable. Tel était l’enjeu pour le collectif DRAO : écrire un spectacle en considérant l’espace scénique comme le terrain de jeu du diable, sur lequel deux femmes et deux hommes se heurtent, se narguent, pleurent et vocifèrent, en engageant le corps comme une étreinte et une lutte. Nous retrouvons les grandes figures de Scènes de la vie conjugale et de Qui a peur de Virginia Woolf ?


Fichier PDF – Organisation


Fichier PDF – Affiche

Mardi Art du 14 février 2012

« Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt »

_MG_6376 Conception et chorégraphie : Perrine Valli

Interprétation : Inari Salmivaara, Alexandre Da Silva, Perrine Valli

Création sonore : Eric LinderIMG_7706

Extrait présenté : Dans ce travail chorégraphique, il s’agit développer un lien entre narration et abstraction. Comment le narratif peut-il s’articuler avec l’abstrait sans pour autant tomber dans les pièges spécifiques à chacun de ces registres ? Le travail étant de représenter sur scène des images mentales.

Le titre « Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt » est tiré d’un tableau de Magritte dont l’univers pictural a servi de source d’inspiration. « Je veille, dans la mesure du possible, à ne faire que des peintures qui suscitent le mystère avec la précision et l’enchantement nécessaire à la vie des idées » déclara-t-il. Au niveau dramaturgique, la pièce s’articule autour du mythe d’Adam, Eve et Lilith car l’aspect métaphorique et politique de ces mythes permet de proposer au spectateur une réflexion sur les rôles identitaires.

Crédit photo : Nicolas Lelièvre et Dorothée Thébert

Classes concernées : 1L/ 1S2 / 1S3 / 1STG C

14h15 au gymnase du lycée

Mardi Art du 14 février 2012

_MG_6376« Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt »

Conception et chorégraphie : Perrine Valli

Interprétation : Inari Salmivaara, Alexandre Da Silva, Perrine Valli

Création sonore : Eric Linder

Extrait présenté : Dans ce travail chorégraphique, il s’agit développer un lien entre narration et abstraction. Comment le narratif peut-il s’articuler avec l’abstrait sans pour autant tomber dans les pièges spécifiques à chacun de ces registres ? Le travail étant de représenter sur scène des images mentales.

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Le titre « Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt » est tiré d’un tableau de Magritte dont l’univers pictural a servi de source d’inspiration. « Je veille, dans la mesure du possible, à ne faire que des peintures qui suscitent le mystère avec la précision et l’enchantement nécessaire à la vie des idées » déclara-t-il. Au niveau dramaturgique, la pièce s’articule autour du mythe d’Adam, Eve et Lilith car l’aspect métaphorique et politique de ces mythes permet de proposer au spectateur une réflexion sur les rôles identitaires.

Crédit photo : Nicolas Lelièvre et Dorothée Thébert

Classes concernées : 1L/ 1S2 / 1S3 / 1STG C

14h15 au gymnase du lycée