Mardi art du 13 mars 2012

Cie_DRAO

Théâtre / Collectif DRAO, Shut your mouth

Création d’une durée de 30 à 40 minutes.

Ce spectacle repose sur des extraits de textes de Jon Fosse, Ingmar Bergman, auxquels s’ajouteront des textes de Lars Norén et de Maurice Pialat, qui mettent en scène des variations sur les relations homme/femme, associés à jamais dans l’étroite frontière de la haine et de l’amour.

Cette frontière, c’est le terrain de jeu du diable. Tel était l’enjeu pour le collectif DRAO : écrire un spectacle en considérant l’espace scénique comme le terrain de jeu du diable, sur lequel deux femmes et deux hommes se heurtent, se narguent, pleurent et vocifèrent, en engageant le corps comme une étreinte et une lutte. Nous retrouvons les grandes figures de Scènes de la vie conjugale et de Qui a peur de Virginia Woolf ?


Fichier PDF – Organisation


Fichier PDF – Affiche

Mardi Art du 14 février 2012

« Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt »

_MG_6376 Conception et chorégraphie : Perrine Valli

Interprétation : Inari Salmivaara, Alexandre Da Silva, Perrine Valli

Création sonore : Eric LinderIMG_7706

Extrait présenté : Dans ce travail chorégraphique, il s’agit développer un lien entre narration et abstraction. Comment le narratif peut-il s’articuler avec l’abstrait sans pour autant tomber dans les pièges spécifiques à chacun de ces registres ? Le travail étant de représenter sur scène des images mentales.

Le titre « Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt » est tiré d’un tableau de Magritte dont l’univers pictural a servi de source d’inspiration. « Je veille, dans la mesure du possible, à ne faire que des peintures qui suscitent le mystère avec la précision et l’enchantement nécessaire à la vie des idées » déclara-t-il. Au niveau dramaturgique, la pièce s’articule autour du mythe d’Adam, Eve et Lilith car l’aspect métaphorique et politique de ces mythes permet de proposer au spectateur une réflexion sur les rôles identitaires.

Crédit photo : Nicolas Lelièvre et Dorothée Thébert

Classes concernées : 1L/ 1S2 / 1S3 / 1STG C

14h15 au gymnase du lycée

Mardi Art du 14 février 2012

_MG_6376« Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt »

Conception et chorégraphie : Perrine Valli

Interprétation : Inari Salmivaara, Alexandre Da Silva, Perrine Valli

Création sonore : Eric Linder

Extrait présenté : Dans ce travail chorégraphique, il s’agit développer un lien entre narration et abstraction. Comment le narratif peut-il s’articuler avec l’abstrait sans pour autant tomber dans les pièges spécifiques à chacun de ces registres ? Le travail étant de représenter sur scène des images mentales.

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Le titre « Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt » est tiré d’un tableau de Magritte dont l’univers pictural a servi de source d’inspiration. « Je veille, dans la mesure du possible, à ne faire que des peintures qui suscitent le mystère avec la précision et l’enchantement nécessaire à la vie des idées » déclara-t-il. Au niveau dramaturgique, la pièce s’articule autour du mythe d’Adam, Eve et Lilith car l’aspect métaphorique et politique de ces mythes permet de proposer au spectateur une réflexion sur les rôles identitaires.

Crédit photo : Nicolas Lelièvre et Dorothée Thébert

Classes concernées : 1L/ 1S2 / 1S3 / 1STG C

14h15 au gymnase du lycée

Mardi Art du 10 janvier 2012

Chorégraphie David Rolland.

Le principe de cette performance est simple.

David_Rolland_-_Happy_manif_400x267_

Tous les élèves sont munies pour chacun d’un MP3. Une bande son défile avec des consignes parfois communes parfois différentes. Cela repose sur des règles à suivre qui amènent au mouvement et au déplacement dans l’espace. C’est ludique et poétique . L’artiste propose de réaliser une séance pour chaque classe dans le gymnase.

Une fois le top départ annoncé, ils deviennent instantanément acteurs d’une manifestation joyeuse à travers une déambulation chorégraphique et décalée.

Nous avons prévu une rotation qui permette d’accueillir les élèves en classe entière au gymnase :

TES1 : 10h25 11h20 avec Mme Gandon

TSTGm : 12h20 13h15 avec Mme Marzouki

TL Art : 13h15 14h10 avec M Barreiros

TSTGf + 2A2B explo danse : 14h10 15h05 avec M Abouanas et Mme Gea

Mardi arts du 6 décembre 2011

À la recherche des canards de la NASA

En septembre 2008, la Nasa lâche 90 canards jaunes en plastique dans un glacier du Groenland pour mesurer la vitesse du réchauffement climatique. Attendus quelques semaines plus tard dans la baie de Disco, les canards ne réapparaissent jamais. Où sont passés les canards ? Sont-ils encore prisonniers du glacier ? Sont-ils déjà sortis ? Et si on retrouvait un canard à des milliers de kilomètres plus au sud ? Au large de Terre-Neuve ? Le long des côtes québécoises ? Devant la statue de la liberté ? Dans le golfe du Mexique ? Ou plus au nord ? Prisonniers de la banquise ? Au large de Thulé ? Sur les côtes russes de l’océan glacial arctique ? Les canards ne détiennent-ils pas la clé des bouleversements du monde ?

Cie Vertical Détour – Ecriture et conception : Frédéric Ferrer

Classes concernées : TS1 – TS2 – TES2 – TL art danse – 2A 2B enseignement exploration danse

Mardi 6 décembre à 14h10

Mardi art du 8 novembre

Escales_dansees« Concerto pour un corps et une guitare préparée en trois mouvements : 1. prélude bruitiste 2. suite tumultueuse 3. final chantonnant … Pas plus ni moins. » de Seb Martel et Anne Emmanuel Deroo

Classes concernées : 13h15 : 2G – 2H – 2D – 2C 14h10 : 2A – 2B – 2E – 2F

Lieu : gymnase

Voyage de mémoire à Auschwitz le 09/11/2011

Le mercredi 9 novembre 2011, les élèves de 1ère L vont visiter à Auschwitz- Birkenau (en Pologne) le camp d’extermination créé par les nazis durant la deuxième guerre mondiale.

Cette action est organisée par la Région Ile de France et le musée de la Shoah avec 28 Lycées.

Ces élèves ont déjà été sensibilisés à l’histoire de la Shoah par la visite accompagnée par la professeure d’histoire et la secrétaire de Direction, le mercredi 20 octobre 2011 au mémorial de la Shoah. Cela a contribué à nourrir leur réflexion sur les atrocités de la guerre, la déportation, la résistance et le devoir de mémoire.

Encadrés par d’anciens déportés, par la professeure d’histoire et la secrétaire de direction, Ils effectueront cette visite d’étude à Auschwitz et réaliseront à cette occasion un panneau thématique.

Celui-ci sera présenté avec les contributions des 27 autres établissements lors d’une cérémonie organisée par la Région Ile de France.

Mardi art du 4 octobre 2011

SUR_UN_AIR_DEUX_2_2_-2Le chorégraphe Christian Bourigault, dans le cadre de l’ouverture de sa résidence d’artiste, présentera sa création « sur un air deux… » à toutes les premières du lycée au gymnase à 14h10.

SUR UN AIR DEUX… 2010 Pièce de 20’ pour 2 interprètes

SUR_UN_AIR_DEUX_1-2

En mai 2010, est né le premier album d’une petite histoire chorégraphique entre un homme et une femme sur des airs de chansons françaises des années 60/70. Ce duo aborde la relation amoureuse en lien avec un univers musical et un texte préexistant. Le sens des mots, la musicalité de la chanson, son rythme et sa couleur, se frottent avec le sens et la musicalité de la danse. Chanson et danse se rencontrent, à l’unisson, en résonance ou en contrepoint, le traitement chorégraphique de la chanson en souligne un aspect particulier, parfois drôle ou décalé mais toujours dans le respect du texte original.

Chorégraphie Christian Bourigault Interprétation Jean-Charles Di Zazzo et Pauline Tremblay

Production Cie de l’Alambic Coproduction Le Forum – scène conventionnée de Blanc-Mesnil


Fichier PDF – Affiche


Fichier PDF – Organisation

Résidence d’artiste au lycée

Le lycée accueille chaque année une « résidence d’artiste », en collaboration avec l’un de nos partenaires culturels : le Forum du Blanc Blanc-Mesnil, La SUR_UN_AIR_DEUX_1Ferme du Buisson de Noisiel ou les Rencontres Chorégraphiques de Seine-Saint-Denis.

La résidence d’artiste appartient à la généralisation de l’éducation artistique et culturelle à tous les élèves de l’établissement et accompagne de façon sensible et concrète tous les enseignements. A ce titre, elle permet d’intéresser le plus grand nombre par des actions de formes souples et variées, imaginées à partir de l’analyse de la situation locale, des objectifs pédagogiques des enseignants, de la thématique et de l’offre éducative des structures culturelles.


Fichier PDF – Calendrier Résidence d’artistes


Fichier PDF – Sur un air Deux

Mardi art du 13 septembre 2011

« Transports exceptionnels »

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Duo entre une pelleteuse et un danseur – rencontre inattendue, un duo entre fer et chair.

« J’utilise le bras de la pelleteuse pour sa fonctionnalité et sa dynamique, mais aussi comme un bras humain qui prend, repousse ou cajole ! La rotation de la machine est un mouvement ample, spectaculaire mais il peut aussi évoquer un manège. Si parfois j’imagine la machine comme un être humain rude et imparfait – à l’image de Boris KARLOFF dans Frankenstein – je tente également de toucher au merveilleux, au vertige du rêve de La Belle et la Bête. Une machine, dans sa puissance, son élégance et sa beauté peut aussi bien évoquer les travaux d’Hercule que le monde industriel peint par Fernand LÉGER.

Dominique_Boivin_-_transports_exceptionnels03__jean-louis_fernandez

La pelleteuse et le danseur ? Un début d’opéra, un chant lyrique et onirique quasi universel qui pourrait nous faire rappeler l’ode amoureuse d’un Roméo pour sa Juliette ».

Dominique Boivin